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Entretien tiré du magazine
les Grands Mystères des Sciences Sacrées,
n°20, novembre 2007

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     J'ai effectué cette interview au début de l'été 2007, juste avant mon premier déplacement en Egypte. Voyage important où j'ai de nouveau été frappé par des résurgences du passé, après une période de 16 ans de calme total. Nous avions quitté Luxor et remontions vers le Nord du pays. Lorsque j'ai reçu ce flash, nous étions approximativement sur la longitude que la ville sainte d'Abydos. Ce n'est que l'année d'après que j'ai eu rendez-vous avec Abydos.

     Quelques années plus tôt, le 27 mars 2005, lors de la conférence de Nenki à Paris, laquelle coïncidait avec la sortie de mon premier ouvrage, j'ai rencontré Christian Cotten et "monsieur Nouvelle Terre", sans me douter que ce dernier allait devenir mon éditeur deux ans plus tard. Lors de notre conversation, Christian Cotten m'a suggéré qu'il était possible que je puisse à tout moment recevoir à nouveau si je le désirais. Que tout était simplement en sommeil et qu'il était peut-être même préférable pour ma santé que je ne bloque plus le processus. Je me souviens lui avoir répondu que je ne le souhaitais pas du tout, que cette expérience avait été suffisamment éprouvante comme cela : j'étais enfin "en paix"...

     Que s'est-il passé en Egypte en 2007 ? Je ne le sais pas totalement, tout ce que je comprends, c'est d'avoir été en contact direct avec des éléments du passé dont je parle dans mes ouvrages. Depuis, je reçois de nouvelles informations de façon fragmentaire. Elles m'ont apporté jusqu'ici quelques précisions concernant des évènements de l'épopée osirienne que j'avais reçus à la fin des années 80, à une époque où je tentais déjà d'arrêter ce processus de réception. Je me rends compte aujourd'hui que toutes ces informations ne semblaient pas toujours bien placées dans mon esprit. Etant donné qu'elles concernaient l'histoire relatée à partir du tome 3 des Chroniques, je me réjouis finalement que le processus se soit réactivé à ce moment. Le hasard n'existe pas.

     Toutes ces informations complémentaires m'ont beaucoup aidé lors de la rédaction du Testament de la Vierge, par exemple. Elles ont guidé mes recherches et replacé des événements à leur juste place. Ces informations me permettent également de reconstituer de façon plus précise l'histoire d'Isis et Horus telle que vous la trouverez dans les tomes 3 et 4 des Chroniques.

 

 

     Depuis 2007, je revis, plus que jamais, avec ces "vieux fantômes du passé". Sans doute fallait-il passer par-là pour prétendre restituer de son mieux cette partie occultée de l'histoire ? Comme cette expérience de vie semble "unique" ou "hors norme", selon les propos de la presse (les Grands Mystères, Nexus…), je suis régulièrement associé avec le groupuscule des chanels et des contactés. Je répète ici, comme je le fais régulièrement dans la presse, que je ne me considère pas comme étant un chanel. J'ai du respect pour cette discipline, le problème n'est pas là. Je précise simplement que mon expérience ne relève pas de l'intention volontaire, mais plutôt de l'intrusion spontanée, quasiment forcée. C'est une différence très importante. Les éléments que je reçois me reviennent régulièrement en pleine figure comme un boomerang. Contrairement aux années 80, je ne suis plus sonné. Mais je peux affirmer que je ne suis pas en contact avec une entité qui me révèle ce qu'elle souhaite (comme c'est le cas pour le chaneling), mais plutôt avec une mémoire ancienne. Peu m'importe de savoir aujourd'hui d'où provient cette mémoire, j'ai décidé de la restituer de mon mieux en plaçant mes états d'âme de côté. Je suis au service de cette cause. La détente sera pour une autre vie… Cela devait être ainsi, comme on dit.

Bonne lecture,
Septembre 2009,
Anton Parks

 

Extraits de l'introduction du dossier, rédigée par le rédacteur en chef, conformément à l'article d'origine :

Anton Parks, l’homme du mystère :

Au cours de ce numéro très spécial, nous vous demanderons de vous ouvrir à une nouvelle hypothèse de travail sur les origines de l’homme et sur la nature des dieux créateurs. La théorie exposée est déstabilisante, infiniment dérangeante et surtout beaucoup moins valorisante pour notre race que celle imposée par les trois religions monothéistes. Celle développée par l’auteur Anton Parks est particulièrement troublante. [...] L’expérience de cet auteur est unique. Ses révélations sont ahurissantes. Son travail n’est pas scientifique et il n’est d’ailleurs pas présenté comme tel, bien qu’il fasse constamment référence à de nombreuses pièces archéologiques connues. L’histoire narrée par ce chercheur est-elle moins crédible que la Bible ? [...]

Face à un public souvent incrédule, Parks fait partie de ces auteurs courageux qui basent leurs recherches sur le décryptage des anciens mythes et légendes, notamment sur les tablettes découvertes dans les ruines des anciennes civilisations akkadiennes, sumériennes et assyriennes. […] Alors que le patrimoine concernant la genèse de l’humanité a été saccagé, détruit ou pillé, alors que les trois religions monothéistes et la Science se sont érigées en dogmes puissants, le témoignage d’Anton Parks nous paraît essentiel, même si d’un point de vue strictement rationnel, il reste irrecevable pour l’ensemble des sceptiques conditionnés à un seul mode de pensée.

Si Parks a pris le parti de réaliser des ouvrages ressemblant davantage à de la littérature de science-fiction qu’à un traité historique ou scientifique, ce fut un choix judicieux. […] Parks a fait le bon choix. Il a opté pour la "fiction" mais a ajouté à son récit des précisions et des éléments fort intéressants, indiscutables sur le plan intellectuel. […] Même si la thèse développée par Parks semble s’apparenter davantage à de la science-fiction et peut faire sourire les sceptiques, il n’en reste pas moins que les nouvelles découvertes tant archéologiques que scientifiques nous offrent chaque jour leur lot de surprises et obligent les savants à réviser leurs dogmes. […] Nous sommes entrés dans une ère de profondes mutations et de révélations sans précédent. Nous la connaissons sous le nom d'Apocalypse. Insensiblement, nous progressons dans une quête de vérité et Anton Parks est l'un de ceux qui nous ouvre la voie… [...]

Dans une interview exclusive donnée à Karmapolis en hiver 2006, portant sur son premier livre le Secret des Etoiles Sombres, paru [initialement] aux éditions Nenki, Anton Parks a expliqué comment depuis l'âge de 14 ans, il avait reçu une série de flashs de mondes, de civilisations et d'êtres étranges. Elevé dans un milieu chrétien, il n'était pas préparé à vivre de telles révélations…
Dans ses visions, il était une sorte de "lézard" du nom de Sa'am qui prit par la suite le nom de Enki, le dieu bienfaiteur des Sumériens. Le langage qu'il parlait et qu'il comprenait, comme s'il s'agissait de sa propre langue, lui était inconnu. Ce n'est que plus tard, qu'il comprit qu'il s'agissait du sumérien ou plutôt d'un proto-sumérien. Sans savoir comment ni pourquoi, Parks s'était trouvé plongé au cœur de la Mésopotamie, en des temps immémoriaux !

Peu à peu, Anton s'intéressa aux tablettes sumériennes parce qu'elles sembler narrer des histoires similaires à la sienne. Fait étonnant, il parvint à déchiffrer l'écriture cunéiforme alors que seules quelques sommités scientifiques y parviennent. Plus fort encore, il travailla sur la décomposition des mots, analysa leurs liens avec nos langues modernes et démontra que les syllabes sumériennes et akkadiennes permettaient de décomposer les principaux mots de langages ancestraux comme le chinois, le grec, le latin, les langues germaniques, [africaines] et amérindiennes. Bref, ils découvrit le "code linguistique des dieux". Aujourd'hui encore, il s'est demandé s'il a pu être ce Sa'am/Enki, mais il a l'intime conviction que son histoire est authentique. Dans ses ouvrages, Parks a retranscrit une partie des annales provenant d'un cristal nommé Girku dont Sa'am était le propriétaire et dans lequel il consignait une grande partie de ses chroniques. Il est possible que Parks ait pu être ce Sa'am dans une vie passée, car l'auteur croit en la réincarnation, mais il existe d'autres hypothèses comme celle qu'il a pu, à un moment donné, et pour des raisons mystérieuses, être mis en relation de manière inconsciente avec ce cristal mémoriel.

 

Anton Parks a été confronté à une quantité d’informations cohérentes à propos d’une civilisation que bon nombre d’historiens et de chercheurs qualifient, à juste titre, de "berceau de l’humanité". D’où lui sont venues ses visions si pénétrantes de l’histoire et de la langue de cette prodigieuse civilisation surgie du néant, comme si elle avait réalisé un prodigieux bond technologique inexplicable ? Nous l’ignorons. Mais l’auteur est honnête et sage. Son expérience est troublante et nous espérons que ce dossier vous donnera envie de pousser plus avant vos investigations...

 

H. Kapf et Meline



Entretien tiré du magazine
les Grands Mystères des Sciences Sacrées,
n°20, novembre 2007


 

M. Parks, à l’âge de quatorze ans, vous avez reçu une série de flashs de mondes, de civilisations et d’êtres étranges, pouvez-vous nous expliquer comment vous avez vécu ce véritable "parcours initiatique" ? De quelle manière avez-vous géré un phénomène aussi perturbant ? Recevez-vous encore ces visions aujourd’hui ?

Oui, approximativement de quatorze à vingt-quatre ans. Si je peux en parler aujourd’hui avec cette forme de détachement, c’est que j’ai eu une bonne écoute de mon entourage, particulièrement chez ma mère et ma sœur. Si ce n’avait pas été le cas, j’aurais sans doute été envoyé faire "un stage" chez les psys, on m’aurait à coup sûr assommé de tranquillisants et octroyé la palme d’or du plus grand schizophrène – sans aucune prétention – connu à ce jour, vu la quantité des données reçues...
Malgré la bienheureuse attention de ma mère, il s’agit bien d’un "parcours initiatique" ou bien "du combattant", comme vous l’évoquez, car il a fait surgir en moi des sensations comme longtemps ensevelies. A chaque fois que le phénomène de flash s’est manifesté, il a toujours été en relation avec la lumière ambiante où je me trouvais. Systématiquement, lorsqu'une "vision" apparaissait, celle-ci possédait le même spectre que la lumière ambiante de l'endroit où je me trouvais. Ces flashs étaient en quelque sorte des jets de lumière qui venaient "d'en haut" et qui pénétraient le haut de mon crâne. Cette action me déconnectait instantanément de la réalité et m'envoyait des scènes complètes, souvent avec les mêmes personnages autour de l'être dans lequel je me trouvais. Je ne maîtrisais pas du tout le phénomène et il se manifestait une à trois fois par jour, selon la lumière que j’allais rencontrer lors de mes déplacements quotidiens. Cela a été une double épreuve, car à l’adolescence, on est plutôt ouvert sur le monde et sur les gens. J’ai donc dû me renfermer sur moi-même, surtout lorsque j’ai compris que ce que je recevais n’était pas commun et que cela perturbait les rares personnes à qui j’avais eu la mauvaise idée d’en parler. Ainsi, je n’ai eu d’autre choix que de faire semblant de rien et de "vivre avec". Tout cela a eu des incidences importantes sur mes rapports avec les gens, la société et la religion catholique dans laquelle j’ai baigné depuis mon enfance. Au bout d’une dizaine d’années, j’ai fais mon possible pour ne plus rien recevoir en vue de me libérer de tout cela ; ce que j’ai réussi à accomplir en quelques mois. Je ne savais pas encore quoi faire de toutes ces informations et je les ai mises de côté dans un coin de ma tête, un énorme coin de mon esprit...

Avez-vous l’impression d’être "guidé" ? Avez-vous le sentiment d’être porteur d’un "message" ?

Même si cela ne me convient pas pleinement de parler ainsi, j’ai souvent eu l’impression d’être guidé, effectivement. Mais cela ne s’explique pas avec de simples mots. Il s’agit d’un sentiment profond. Lors de la rédaction de cette série d’ouvrages, il m’est arrivé d’écrire une scène avec la perception que j’avais ressentie lors de la réception et de devoir rectifier un détail ou apporter une précision inédite, mais pourtant d’une façon "instinctive" en me disant intérieurement : "non c’est plus juste comme cela… ça, c’est la vérité !". Je porte peut-être un message, seuls les lecteurs seront juges.

Vos ouvrages sont écrits à la première personne du singulier. Vous êtes Sa’am/Enki un être reptilien créé par clonage. Dans une interview accordée à Karmapolis, vous avez dit croire à la réincarnation. Pensez-vous que vous puissiez être une incarnation ou bien une sorte de "projection de chair" de ce personnage qui, rappelons-le, fut l’une des trois principales divinités du panthéon sumérien ? Ou bien avez-vous une autre explication à cette sorte de "double" que vous percevez en vous ?

C’est un grand sujet. Oui, je crois à la réincarnation. Concernant le sens de votre question, je ne peux malheureusement pas vous répondre catégoriquement d’une façon ou d'une autre. Je pourrais très bien vous dire : "Oui ! Je pense être la réincarnation de Sa’am-Enki. A une époque lointaine, j’ai fait sur Terre "la pluie et le beau temps", j’ai été un dieu (sic) et je porte en moi la bonne parole, la seule vérité qui puisse exister". Si je m’exprimais ainsi, je ne serais pas très loin du dieu biblique qui prétend être la source de toute vie sur Terre et qui assure qu’il n’existe aucun autre dieu que lui-même et nulle autre bonne parole que la sienne. Par la même occasion, je pourrais aussi vous communiquer mes références bancaires tout en prétendant détenir la vérité des vérité et déclarer pouvoir sauver le monde ?!… Ce serait certainement rentable financièrement (conférences, stages et formations avec diplôme valorisant, etc). Mais, ce n’est pas le but des Chroniques qui sont d’éveiller à une compréhension du passé de l’humanité avec ses civilisations, ses mythes et ses richesses archéologiques. Je finirai simplement en disant que je ne possède pas de réponse rationnelle pour tous. Le fond de ce que j’ai reçu parle de lui-même, il englobe de nombreux concepts mal compris ou inexplorés et apporte des réponses qui me paraissent sensées.

Suite à la publication de vos deux ouvrages "Le Secret des Etoiles Sombres" et "Adam Genisiš", avez-vous reçu des réactions de la part des milieux scientifiques et religieux ou de celle de chercheurs "engagés" comme David Icke ou encore Zecharia Sitchin ?

Religieux, pas véritablement, mais scientifique oui. Il s’agit de l'ingénieur Gerry Zeitlin, titulaire de licences en physique, astronomie et astrophysique à l’université de Berkeley (Californie). Sa carrière est très longue et il a travaillé, entre autre, sur le développement de méthodes avancées sur la grande vitesse au Nasa Ames Research Center et également sur le projet SETI. Gerry et sa femme Malou sont tombés sur mon premier ouvrage par l’intermédiaire du journaliste Karmaone. Depuis, Gerry Zeitlin travaille sur un site important en relation avec les Chroniques. Il m’a fait l’extrême honneur de préfacer Adam Genisiš et de réaliser avec moi, pour ce même ouvrage, des graphiques en rapport avec le panthéon des dieux, les lignées humaines, la codification des langages et le parcours chaotique de Vénus avant sa stabilisation dans le système solaire. Sinon, à ce jour, je n’ai eu aucun autre contact de ce genre, sans doute parce que mes ouvrages ne sont pas encore traduits en anglais à l’heure où je réponds à vos questions.

Pouvez-vous nous en dire plus sur le code linguistique des "dieux" ? Vous faites mention d’un syllabaire sumérien, l'Emenita ou langage mâle et d’un autre, l’Emešà utilisé par les femelles. Quelle est la différence entre les deux ?

L’Emešà, le langage matrice des prêtresses de la race des Gina’abul (lézards), est plus ancien. Il comprend à la fois les particules qui composent le sumérien et l’akkadien. Les Amašutum ("mères lézards") ont composé ce langage matrice, justement pour déjouer la domination des mâles contre qui les Amašutum étaient en guerre depuis la nuit des temps. Le graphique sur l’origine des langages que Gerry Zeitlin et moi-même avons réalisé parle de lui-même, le voici :

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Vous évoquez de nombreuses entités d’extraterrestres ayant colonisé notre planète. Parmi ces races, citons les Gina’abul, mot signifiant "lézard" en sumérien et toute une série d’autres êtres comme les Kadištu ou planificateurs (les anges-Elohim de la tradition hébraïque), les Abgal, les Urmah, les Imdugud… Notre revue s’étant penchée à plusieurs reprises sur le mystère des anges, pourriez-vous également nous préciser qui sont ces Kadištu et les différentes races qui en font partie ? Quel est leur rôle ?

Les planificateurs Kadištu sont les gardiens de lieux clés dans l’univers. Ils ont pour objectif de faire régner une forme d'organisation et de "discipline" qui émane de la Source que l’on peut assimiler à Dieu. C’est pour cela, effectivement, que l’on peut les assimiler aux anges de Dieu. Malgré leur haute technologie et leur extrême intelligence, les Kadištu n’ont pas pour mission de résoudre tous les problèmes. En ce qui concerne l’histoire de la Terre et de son développement, les planificateurs ont fait, semble-t-il, le choix de laisser la Terre, qui est pourtant un lieu sacré, aux mains des reptiliens Gina’abul. Il ne s’agit pas d’un abandon de la Terre, mais bien d’une retraite transitoire, car les planificateurs n’ont cessé à ce jour de porter un œil sur leur création. A l’échelle humaine, cela peut sembler très long, mais à l’échelle temporelle des planificateurs et de l’univers, il n’en est rien. Les Kadištu ont pour habitude de ne pas interférer dans le développement de races en pleine évolution. Les reptiliens Gina’abul sont dans ce cas. J’imagine qu’il a été plus simple pour les planificateurs de laisser les Gina’abul résoudre leurs problèmes familiaux entre eux alors qu’il existe au sein de la famille reptilienne le groupe Amašutum qui fait justement partie des planificateurs. Je pense également que le type Homo qui est originaire de la Terre et du système solaire possède un karma qui est rattaché aux reptiliens étant donné que le type Homo a été maintes fois manipulé génétiquement par ces mêmes reptiliens Gina’abul.
Concernant les différentes races qui composent les Kadištu, je peux effectivement vous en citer quelques unes, mais ma liste sera limité dans le sens où elle ne compose que les acteurs de l’histoire que je rapporte. Voici quelques exemples de planificateurs (conformément aux informations dont je dispose) :

-  Les Sukkal qui habitent dans la constellation de la Lyre. Ils possèdent une forme d’oiseau.
-  Les créatures Ameli de forme semi-éthérique qui logent autour de l’étoile Aldébaran dans la constellation du Taureau.
-  Les amphibiens Abgal qui sont originaires de Sirius.
-  Les guerriers félidés Urmah, issus de la constellation d’Orion. Ils constituent la milice céleste des planificateurs.
-  Les Amašutum qui sont les femelles reptiliennes de la famille Gina’abul. Elles vivent à plusieurs endroits de cet univers comme la Grande Ourse, les Pléiades, les Hyades.
-  Les Ama’argi. Elles font partie des Amašutum et sont originaires de la Terre. Elles vivent dans la cavité centrale de la planète.
-  Les Imdugud ou Anzu qui sont un mélange des Urmah et des royaux albinos Kingú. Originellement créés pour veiller sur la réserve terrestre et surtout concilier les reptiliens Gina’abul et les planificateurs Kadištu.
-  Les Nungal créés par Sa’am-Enki et sa mère Nammu. Ils seront les anges déchus, les veilleurs dont parlent Le Livre d’Enoch et également les suivants d’Osiris et Horus.

Dans votre premier tome, une guerre éclate entre plusieurs clans Gina’abul défendant des idéaux différents. Quels sont les différents protagonistes et les raisons principales de ce conflit qui semble à première vue très ancien ?

Il y a deux différents importants qui occupent l’histoire que je connais et retrace. Il s’agit d’un premier conflit entre la caste Ušumgal et celle des royaux Kingú. Les événements sont très lointains et ils sont en rapport avec l’origine des Ušumgal qui ne reconnaissent pas avoir été créés par les Kingú. L’autre événement est plus proche dans le temps et intéresse directement le déroulement de l’histoire du tome 1, à savoir la création clandestine, par les Ušumgal, d’une armée dénommée Anunna. Ces Anunna sont le fruit d’une machination qui implique la fabrication de faux attentats et de faux ennemis pour justifier le besoin impératif de s’entourer de soldats qui auront pour mission de conquérir des mondes pour le compte du régime Ušumgal. Lorsque la reine Tiamata qui partage le pouvoir suprême Gina’abul avec son époux Abzu-Abba dans le système de la Grande Ourse, découvrira le complot, elle se mettra en guerre contre les créateurs des Anunna en enrôlant des Kingú dans son armée. Cette action amènera dans le système solaire les guerriers Anunna et tous ceux impliqués dans cette guerre.

 

Vous évoquez souvent le rôle du sexe et sa relation avec le divin à travers l’énergie de la Kundalini et vous révélez toute l’importance du pôle féminin. Vous faites allusion à l’amour sacré et donc, implicitement, à la nécessité pour chacun de nous de retrouver notre âme complémentaire ou âme jumelle avec laquelle nous devons fusionner pour reformer notre être androgynique primordial...

Oui, c’est un sujet très important. Je dirais même que le thème des âmes jumelles ou âmes sœurs est le point central de la série. Je suis très heureux que vous l’évoquiez. Il en sera question dans les deux prochains volumes à travers les aventures d’Heru (Horus) et particulièrement dans l'ouvrage qui s'intitulera "la Pierre du Destin". Sous les traits de Sa’am-Enki-Asar (Osiris) et Heru (Horus-Lucifer), le personnage de la série passe son temps à rechercher son âme sœur et à cohabiter avec elle, ici Sé’et (Aset-Isis). C’est une épreuve difficile et pleine de risques, car coexister dans cette dimension avec son âme sœur requiert une parfaite maîtrise de soi et surtout un juste équilibre entre les deux parties jumelles. Si l’une des deux personnes ne possède pas le même niveau de conscience en raison d’une évolution trop différente, les deux "amants célestes" rencontreront toujours des problèmes sur leur(s) route(s). C’est exactement ce qui arrive aux deux protagonistes principaux de cette série qui passent leur temps à se chercher, à se sauver et à se pleurer…
Faire face à son âme sœur c’est aussi faire face à son miroir intérieur. Il faut savoir que chaque entité demandera inconsciemment beaucoup à sa contrepartie et aussi le fait de lui "ressembler", ce qui est impossible. Irréalisable, car, même si leurs objectifs sont généralement les mêmes, les deux âmes sœurs possèdent un parcours différent et souvent une éducation autre. Une âme sœur supporte difficilement d’être déçue par son "double inversé", ce qui est assez logique, mais ceci peut aussi occasionner des complications d’ordre relationnel. Deux âmes sœurs ne doivent surtout pas forcer le destin si elles ne possèdent pas le même niveau spirituel. Leur "union" (cohabitation) sera possible en KI (troisième dimension) uniquement lorsqu’elles seront en phase… Elles sont généralement en phase lorsque l’une et l’autre sont justement au bout du parcours karmique et qu’elles sont prêtes à réintégrer leur lieu d’origine ensemble ou encore à s’incarner éventuellement parmi les planificateurs Kadištu. Plusieurs choix sont possibles. C'est un vaste sujet...

Les Kadištu possèdent le secret de l’ascension des énergies permettant l’union sacrée symbolisée par le caducée d’Hermès. Ne pourrait-on pas la mettre en relation avec l’arbre de vie du Jardin d’Eden ? Ne pourrait-on pas penser que Lucifer, loin d’être un démon, a offert au premier couple cette voie d’éveil incomparable leur permettant de se libérer du joug de Yahvé qui dans les écrits gnostiques est considéré comme le grand archonte maléfique, autrement dit, Satan ?

Vous savez, la symbolique de l’arbre est multiple. Vous avez raison de mettre en relation l’arbre mythique avec le thème de la montée d’énergie. La décomposition du terme sumérien GIŠ (arbre) en GI6-IŠ, nous donne : "étoile sombre" ou "ardent et sombre". Le thème d’Etoile Sombre renvoie aux divinités créatrices des anciens temps qui sont d’une façon générale de nature féminine ou qui prônent le principe de l’énergie féminine et celui de la Déesse-mère. En langage maya et nahuatl, la divinité créatrice porte le nom Teol. La particule TE évoque "un arbre" et OL veut dire "esprit". Nous retrouvons à la fois le concept chrétien de l'esprit créateur de Dieu symbolisé par le Saint-esprit et aussi l'arbre divin, celui qui permet d'accéder à la Sagesse. Or, le Saint-esprit et la Sagesse (de l'arbre) sont des attributs détournés par les textes judéo-chrétiens pour nommer la Déesse-mère ! Ce qui est d'autant plus remarquable, c'est que la particule suméro-akkadienne TÈ exprime "une lumière", TE4 signifie "brûler, brûlant" et UL veut dire à la fois "fleur, étoile, briller et ancien". Dans ces conditions, dans le langage des "dieux", le terme d'Amérique centrale Teol (l'arbre-esprit = divinité, dieu) veut dire quelque chose comme "la lumière qui brille" ; "la lumière de l'étoile" ou encore "la fleur brûlante".
J’explique dans Adam Genisiš que Sa’am-Enki (le serpent biblique / le serpent instructeur) est non seulement le généticien qui permettra de fabriquer de dociles ouvriers pour le compte des envahisseurs reptiliens, mais il est aussi le "libérateur", celui qui redéfinira clandestinement le code génétique humain afin de réveiller subtilement l’ouvrier. A l’aide des prêtresses Šandan (arboricultrices, horticultrices) et Santana (chefs de plantations) qui régissent l’Edin (la plaine mésopotamienne) pour le compte des Anunna, Sa’am-Enki se chargera d’enseigner la connaissance de l’union divine "qui jumèle les deux sexes et qui permet de se connecter à la Source". Je passe beaucoup de temps dans les deux premiers ouvrages à expliquer, dans les notes de bas de page, le sens profond de l’arbre ainsi que ses connotations sexuelles et féminines.

Le premier tome se termine par la fuite de Sa’am (Enki-Osiris) et de ses troupes qui trouvent refuge sur la Terre où s’est développée une multitude de créatures, plantes et animaux. La Terre apparaît comme un vaste champ d’expérimentations extraterrestre et un carrefour incontournable de routes intergalactiques...

Oui, Uraš (la Terre) est un carrefour inévitable depuis la nuit des temps. C’est le lieu des planificateurs Kadištu qui ne sont autres que les Elohim de la Bible. D’après ce que je sais, il existe très peu de planètes comme la Terre dans notre univers. J’entends par-là une planète avec autant de diversités dans tous les domaines. Uraš (la Terre) est un lieu d’expérimentations multi-millénaires où des intrus se sont introduits sans véritable autorisation. Ces envahisseurs sont les royaux Gina’abul, les Kingú. L’arrivée massive des troupes reptiliennes Anunna dans le système solaire et les batailles qu’elle a provoquée pour les raisons évoquées plus haut, a abouti au retrait officiel des planificateurs Kadištu ici-bas.

Vous évoquez une "Source" originelle (Dieu) dont les Kadištu seraient les émissaires mais vous n’en dites rien. Selon vous, pourrait-on la définir comme une sorte de "matrice" de clonage contenant l’ensemble des Adn possibles et pouvant les combiner à l’infini pour créer la vie ? Elle semble en tout cas plus féminine que masculine puisqu’elle soutient le culte de la Déesse-Mère...

Ce que vous me demandez est un peu de développer la notion de "Dieu" créateur, source de toute vie… c’est impossible. Je pressens effectivement "la Source" dont il est question dans ma série comme celle de toute chose. Les planificateurs Kadištu travaillent en son nom. Mais, comme vous l’avez sans doute remarqué, cette "Source", aussi illustre soit-elle, n’empêche pas le malheur de s’abattre sur le système solaire. Elle n’empêche pas non plus les différents conflits de persister au-delà de notre système solaire. Vous avez sans doute raison de la comparer à une "matrice" céleste. C’est sans doute ce qu’elle est : une sorte de machine à faire des "équations". Elle ne cesse de combiner différentes formules selon les régions de l’univers et les espèces qui les occupent. Cela ressemble un peu à un dispositif céleste qui multiplie les combinaisons en vue de créer une sorte d’équilibre impartial entre les différentes espèces de l’univers. Cela peu paraître beau et effrayant à la fois, et ça l’est pour ma part. Les planificateurs Kadištu symbolisent donc une sorte "d’unité de mesure" qui a pour objectif d’infléchir la balance céleste d’une manière cartésienne et objective pour le bon fonctionnement de notre univers et de cette "Source" à qui nous appartenons tous. Vous comprenez ?

M. Parks, pensez-vous que la beauté universelle soit reptilienne et donc, que cette "Source" pourrait, elle aussi, procéder de cette nature ? Dans ce cas, l’homme serait une sorte d’anomalie issue du génie génétique extra-terrestre, une créature hybride qui n’aurait peut-être jamais dû voir le jour...

La beauté reptilienne est véritablement très jolie. Je peux l’affirmer, mais elle n’est pas la beauté universelle non plus ! En existe-t-il une véritablement ?, j’en doute. Elle est simplement partout, dans chaque "race" et chaque communauté de langue de culture, de couleur de peau qui forment les différentes ethnies galactiques de notre univers. Malgré qu’il soit hybride, j’imagine avec difficulté que l’être humain soit une sorte d’anomalie, car j’ai le profond sentiment qu’il existe d’autres "humains" du même genre ou très ressemblants dans l’univers.

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A propos de clonage, les Gina’abul semblent être passé maître dans cet art de la génétique. Comment se fait-il selon vous qu’un être cloné puisse posséder une âme alors que la Source n’intervient pas dans ce processus de création ?

Chaque individu de l’univers doit normalement être maître de son destin et donc des choix qui vont diriger ses différentes vies. L’immortalité n’est, pour ma part, pas synonyme de développement personnel. Les "dieux" dont je relate les aventures se sont un peu perdus dans cette vision limitée de la vie. Pourquoi ? Parce que la plupart d’entre eux évoluent en KI (3D) et que cette dimension est celle de l’action et non des "vacances prolongées". Ainsi donc, posséder l’art du clonage n’est pas une fin en soi et encore moins un remède contre la mort (la renaissance devrait-on dire). Nous sommes tous des "dieux" potentiels et nous possédons tous une âme immortelle. L’âme se souvient toujours. Elle accumule les expériences et n’a normalement qu’un seul objectif, celui de progresser. Les "méchants" d’aujourd’hui deviendront sans doute les "bons" de demain… ça aussi c’est de l’équation. Nous sommes finalement tous de grands mathématiciens, comme la "Source" dont nous sommes issus.

Vous évoquez l’existence de plusieurs dimensions de conscience imbriquées les unes dans les autres à l’image d’une poupée russe dans lesquelles certains êtres ont la faculté de se déplacer, soit naturellement, soit à l’aide d’une technologie qui nous dépasse. Dans le même temps, ces êtres assimilés à des voyageurs spatiaux semblent aussi "matériels" que vous et moi. Sont-ils des êtres inter-dimensionnels, des extraterrestres ou les deux à la fois ?

Dans la famille des Gina’abul (lézards), très peu d’entre eux sont inter-dimensionnels naturellement. A ma connaissance, seuls les dragons de type Mušgir peuvent se déplacer d’une dimension à une autre. Les autres reptiliens utilisent pour cela des objets comme des Gúrkur ("sphère du KUR", prononcé aussi Gùrkur "qui transporte vers le KUR") et des Gírkù : "saint éclair de lumière") comme celui que possèdent Sa’am et Heru. Les Gúrkur/Gùrkur sont des objets sphériques métalliques qui se prennent en main. Ils émettent différents niveaux de fréquences et permettent de se caler sur les deux basses dimensions du KUR et peut-être même sur des dimensions parallèles au KI (3D). D’après ce que je sais, les royaux Kingú utilisent ces sphères du KUR (Gúrkur). A ma connaissance, il n’en existait pas suffisamment sur la Terre et le fait d’en posséder était regardé comme un grand privilège par le pasé. Pour le comprendre, il faut rappeler aux lecteurs que ce genre d’objet permet donc de se déplacer dans les dimensions inférieures ou parallèles à la nôtre. Ces dimensions donnent un accès visuel sur le KI, la troisième dimension où nous évoluons. En terme clair, celui qui possède un tel objet et qui se rend invisible à nos yeux parce qu’il se trouve sur un niveau de fréquence différent, peut épier des êtres à leur insu…
Dans les autres familles galactiques, il existe sans doute des planificateurs qui peuvent se déplacer naturellement d’une dimension à une autre, uniquement si celles-ci ne sont pas trop basses. Mais ces êtres n’interviennent pas directement dans l’histoire que je raconte ou très peu. Il ne faut pas oublier que mon récit se calque sur ce qu’ont vécu Sa’am et Heru ou bien ce qu’ils ont entendu ou encore ce qu’ils auraient pu lire dans leur cristal Ugur-Uach. Aussi vastes que soient les Chroniques que j’expose, elles sont tout de même limitées pour ces raisons importantes.

Dans votre second tome, vous démontrez que la thèse de Z. Sitchin selon laquelle, Neb-Heru, la planète des Annuna, une exo-planète qui reviendrait tous les 3.600 ans dans les parages de la terre en y provoquant diverses catastrophes, serait erronée et même basée sur aucun document connu. Selon vous, les Annuna seraient originaires des Pléiades et la planète qui aurait occasionné ces bouleversements (dont le déluge) serait Vénus (Mulge-Tab), l’ancien satellite de Mulge, l’astre des Kadištu (planificateurs), volontairement détruit par les opposants à la Source. Pourriez-vous préciser ces éléments et nous dire où se sont réfugiés les Kadištu après la destruction de leur planète ?

Ce n’est pas tout à fait cela. Puisque vous évoquez cette controverse, je me dois d’être le plus clair possible. Dans mon second ouvrage, je démontre que la tablette d’argile VA-243 dont s’est servi M. Sitchin pour échafauder sa thèse d’exo planète vagabonde n’est pas une tablette astronomique.

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la tablette VA-243

Z. Sitchin s'entête depuis son premier ouvrage "La 12ème planète" à faire croire aux lecteurs qu’un imposant planétoïde dénommé Neberu ou Nibiru serait la planète des "dieux" sumériens Anunna et que cette dernière croiserait la Terre tous les 3.600 ans. Le concept d’une planète errante dénommée Neberu et mère patrie des dieux sumériens est totalement absent des textes sur argile mésopotamiens !!

 

Il n’existe aucun texte qui prétend que Neberu est la planète des dieux Anunna, je dis bien aucun ! Tout le monde peut le vérifier – ce qui, manifestement, n’a pas été fait jusqu’à présent. J’insiste et le démontre dans mon dernier ouvrage. Je ne demande à personne de croire sur parole ce que j’ai pu recevoir en affirmant : "cette version est meilleure que n’importe quelle autre".

 

Par contre, je me dois d’insister sur le fait que M. Sitchin ne semble pas connaître la vérité, celle des tablettes qu’il prétend pourtant analyser. Dans le cas contraire, il aurait depuis longtemps donné les références desdites tablettes qu’une poignée de téméraires lui demande depuis de nombreuses années. M. Sitchin ne se serait pas non plus privé de placer de larges extraits de ces textes dans ses ouvrages. Or, si vous lisez bien, ce n’est pas le cas non plus. Il n’existe aucune allusion écrite comme : "Les Anunna de Neberu" ou "les dieux de Neberu" ou "ils descendirent de Neberu" ou encore "Ils avaient besoin d’or pour préserver l’atmosphère de Neberu", etc… Toute cette histoire ne repose sur rien de concret et n’est que pure théorie. Comme vous le voyez, c’est irritant, car la thèse extravagante de Sitchin est régulièrement et aveuglément évoquée dans de multiples magazines. Même certains médiums évoquent depuis quelques années un astre Neberu. Il faut croire que le goût du sensationnel et du catastrophisme est d’actualité !


Comme je l’indique dans Adam Genisiš, je ne remets pas en cause l’éventuelle existence d’un astre errant qui pourrait très bien perturber le système solaire dans un avenir non déterminé. Ce que je remets clairement en cause c’est le concept d’un astre vagabond dénommé Neberu (Nibiru) qui serait la planète des Anunna ! Le seul lieu de naissance associé sur les tablettes aux dieux sumériens est le Dukù ("Saint Monticule") et non Neberu. Ce Dukù est affilié à une constellation qui accompagne très souvent les divinités lorsqu’elles sont gravées sur argile. Cette constellation a été identifiée par de multiples spécialistes de l’Orient Ancien, il s’agit de Mulmul : les Pléiades. Voici donc le seul lieu en rapport certain avec le panthéon sumérien et il n’y en a aucun autre ! Je passe suffisamment de temps (130 pages) dans Adam Genisiš à démontrer cette réalité et à prouver que le Neberu mésopotamien et le Neb-Heru égyptien ne sont rien d’autre que la planète Vénus avant qu’elle ne se positionne définitivement dans notre système solaire. Le seul astre perturbateur que le système solaire ait connu ces derniers 9.000 ans est la planète Vénus. L’auteur Immanuel Velikosky l’a très bien démontré dans son ouvrage remarquable "Mondes en Collision". Mes investigations personnelles étalées dans Adam Genisiš ne font que confirmer sa théorie.

Z. Sitchin n’évoque jamais des dieux à l’apparence reptilienne. Comment expliquez-vous qu’il soit passé à côté de cette vérité ?

Aucune idée, tout le monde s’en étonne d’ailleurs. Ce concept doit sans doute le troubler. Je souhaite préciser que, malgré les apparences, je n’ai rien contre cet auteur. Je souhaite juste rétablir certaines vérités quelque peu escamotées. Malgré nos divergences et les points que je viens de soulever, je me dois de souligner que le travail de Z. Sitchin est important.

Les chrétiens font constamment référence à une seule création réalisée par un Dieu unique. Or, une lecture plus attentive de l’Ancien Testament révèle que le mot Elohim étant un pluriel, il s’agissait de plusieurs divinités porteuses de deux projets différents : le premier par les Elohim (émissaires de la Source), une création de type androgyne, le second par Yahvé Elohim, une création de type "génétique". Dans votre livre, vous évoquez non pas une, non pas deux, mais toute une série de manipulations ayant abouti à des races différentes. Pourriez-vous synthétiser les divers projets (fort complexes) de ces "dieux" ?

les faits de la même façon :

-  1) Les Kadištu (planificateurs) ont créé les humains primordiaux Namlú'u en tant que gardiens d'Uraš (la Terre). Nous pouvons dénommer ce projet "projet Elohim" pour mieux comprendre ce qui est écrit dans la Genèse.
-  2) Pour des raisons expliquées dans Ádam Genisiš (c’est-à-dire dans un but de main d’œuvre et alimentaire), les royaux Gina'bul dénommés Kingú ont façonné sur Uraš le type Ugubi (singe) d'où découlent les premiers êtres du genre Homo, comme les Ádam Dili (animaux premiers), c'est-à-dire l'Homo Erectus. Ces royaux se considèrent comme une race de dieux, "supérieurs", ayant le pouvoir sur les races inférieures, exactement comme les humains agissent envers les animaux. Etant des dieux, ils regardent d’ailleurs les humains comme des animaux. Nous ne pouvons nous étonner d’un tel comportement, puisque nous agissons exactement de la même manière avec les races animales que nous considérons comme inférieures. Nous oublions trop vite que génétiquement l’humain est très peu différent de l’animal. Il possède un squelette, des organes, des muscles, un cerveau, une intelligence, des émotions, etc. Les scientifiques découvrent seulement depuis peu que les animaux sont capables de concepts (définition de couleur, forme..). Je peux ajouter que vous ne verriez aucune différence dans votre assiette entre un steak de chair provenant de certains animaux et de la viande humaine…
-  3) Poursuivons. Nammu (mère d'Enki) et ses coéquipières planificatrices sont responsables du type Ukubi Ullegarra (Homo "placé avant") : l'Homo Néanderthalensis. Nous pouvons également dénommer ce projet "projet Elohim", parce qu'il a été effectué par des planificatrices, même si le conseil Kadištu (planificateur) n'a pas accordé son soutien à Nammu.
-  4) Les Ama'argi (femelles Gina'abul terriennes) sont responsables des différents changements du type Ugubi (singe) vers l'Ukubi (Homo) qui donnera l'Ádam Dili (Homo Erectus).
-  5) Modifications génétiques sur l'Ukubi Ullegarra (Homo "placé avant") pour en faire un esclave pour le régime Ušumgal-Anunna. C'est Nammu, Enki et Ninmah qui vont se charger de créer ce nouvel exemplaire. Ce spécimen se retrouve sur les tablettes d'argile sous l'appellation Annegarra ("placé après"). Il est noir comme ses frères et est souvent dénommé Sag’giga ("esclave noir") sur les tablettes. Il s'agit de l'Abel biblique. La première version est asexuée.
-  6) Le régime Ušumgal-Anunna rencontre des difficultés avec ce spécimen trop intelligent et "spirituel" qui possède subitement un sexe par les soins dérobés d'Enki. Les Ušumgal sont contraints de créer une autre version de travailleurs (toujours noirs) à partir de l'Ádam Dili (Homo Erectus). Il s'agit de l'Ukubi Ádam Min (Homo animaux deuxième) : l'Homo Sapiens. C'est celui qui se trouve en Genèse 2.7 et qui correspond à la deuxième création biblique. Nous pouvons dénommer ce projet "projet Yahvé-Elohim", car il est ordonné par An + Ušumgal (Yahvé) et exécuté par Enki et sa seconde sœur Dim'mege (Elohim). Cette première version ne sera pas pleinement satisfaisante et Enki clonera clandestinement d'autres versions. Il s'agit du Caïn biblique.
-  7) Finalement, la version Lubarra (blanche) de l'Ukubi Annegarra ("placé après") : l'Homo Neanderthalensis, sera réalisé clandestinement par la sœur de Sa'am-Enki qui se prénomme Sé'et (Isis) et la version blanche de l'Ukubi Ádam Min (Homo animaux deuxième) : l'Homo Sapiens, sera cloné par Ninmah et remanié secrètement par les royaux Kingú.

Lorsque l’on se penche sur le tableau reprenant les principaux personnages et souches décrits dans votre livre, on remarque que bon nombre sont des clones. Mais qui à créé les "cloneurs " ? Nous supposons qu’il s’agit de la Source… Et justement, cette Source, résidant dans les dimensions supérieures de conscience, semble complètement absente voire indifférente à ce qui se passe "en bas". Ses émissaires ou Kadištu ne reçoivent apparemment aucune aide de sa part. Quels sont leurs rapports avec cette mystérieuse Source ?

Les cloneurs sont souvent, eux aussi, des clones, c’est-à-dire des êtres créés génétiquement. Il faudrait aller bien loin pour accéder au commencement de la chaîne créatrice. Ces âges lointains dépassent largement le déroulement des épisodes que je rapporte. Je suis limité par les événements que les personnages de Sa’am (Enki-Osiris) et Heru (Horus) ont vus ou vécus.
Je ne pense pas que la Source ait pour fonction de donner des ordres quelconques. Comme je l’ai évoqué plus haut, elle est un peu une "mécanique céleste à faire des équations". Les Kadištu (planificateurs) sont ses représentants, mais nous sommes tous appelés un jour à devenir des planificateurs. D’un point de vue terrestre, je pense que le statut de Kadištu se trouve au-dessus du cycle des incarnations humaines. Lorsque l’être humain a fini son cycle karmique, je pense qu’il a la possibilité de s’incarner parmi une des races planificatrices. Il s’agit du dernier stade avant de "rejoindre" la Source. Certains peuvent très bien rester chez les planificateurs pendant de très longues périodes qui l’on pourrait qualifier d’éternelles.

Depuis le début, notre revue a toujours soutenu l’idée que Enki, Lucifer et Jésus-Christ étaient liés par un lien d’essence. Il nous a paru évident qu’une même "énergie de lumière" avait animé tous ces bienfaiteurs de l’humanité, qu’ils étaient venus combattre le même ennemi, à savoir Enlil, Yahvé, Satan et que leur message avait été honteusement trahi. Ces alliés de la Source avaient prôné le culte de la Déesse-Mère, lutté contre le patriarcat imposé par Yahvé et tenté de donner à l’humanité les moyens de se libérer du joug de leur dictateur en se reliant directement au grand Dieu ineffable. Yahvé n’avait jamais été le père du Christ. Lucifer n’était en aucun cas Satan. Et jamais le Christ n’avait livré bataille contre Lucifer mais bien contre Yahvé. Qu’en pensez-vous ? Que pouvez-vous nous apprendre sur ceux ce que vous nommez les Kir-iš-ti, ces "fils des étoiles" ?

Je ne pense que du bien de ce que vous m’exposez, car nous avons manifestement la même vision des événements. Effectivement, le dieu biblique Yahvé possédait comme sbire le fumeux Satan que l’on identifie facilement au Šàtam sumérien, c’est-à-dire à "l’administrateur territorial" de l’Edin (la plaine mésopotamienne) où les Ádam ("animaux") humains travaillaient pour nourrir les "dieux" du panthéon sumérien. Comme vous le voyez, le langage sumérien permet de déchiffrer de nombreux points obscurs volontairement détournés par les rédacteurs de la Bible…
Le véritable Eden biblique n’était pas le "Club-Med" contrairement aux déclarations propagées par les judéo-chrétiens qui nous le font croire encore aujourd’hui en vue de glorifier la gloire du tyran Yahvé (An) et d’attribuer la chute de l’humanité à la femme !! Quant à Lucifer, ce terme veut dire "porteur de lumière", il ne s’agit en aucun cas d’un diablotin au service du mal, mais plutôt d’un libérateur de l’humanité enchaînée par les soins de ce même Yahvé (An) et de son bras droit le grand Šàtam (Enlíl). Lucifer n’est autre qu’Heru (Horus), fils de Sa’am-Enki-Osiris (le serpent biblique) qui, comme vous le verrez dans le 3ème tome des Chroniques, Le Réveil du Phénix, devra utiliser la ruse et les armes pour faire face aux esclavagistes descendus du ciel et aux assassins de son père.
D’après ce que j’ai "reçu", le concept de Kirišti provient de Sirius. Ce terme se décompose en KIR-IŠ-TI ("fils ardent de la vie" ou "poisson des étoiles et de la vie") en sumérien. La particule sumérienne KIR voulant dire à la fois fils et poisson, nous ne serons pas étonnés de relever que Jésus, dit le Christ, possédait comme emblème le poisson et que ce même symbole fut utilisé par l’église chrétienne avant que ne soit définitivement adopté le signe de la croix. D’après ce que je sais, les Kirišti doivent posséder du sang Abgal, c’est-à-dire du sang d’amphibien originaire de Sirius. Ils ont un rapport certain avec l’élément liquide, comme l’indique d’ailleurs le terme latin Christus ("oint, qui a reçu l’onction")… La Terre a porté plusieurs Kirišti. Ils sont généralement au service de l’ancienne religion qui est celle de la Déesse-Mère. Tous ont eu pour mission de réveiller l’humanité et la plupart d’entre eux ont eu des fins tragiques parce que leurs messages remettaient en cause le système patriarcal et dictatorial du dieu unique. Tout Kirišti doit avoir été engendré par une GIR "Vache des temps intermédiaires" en sumérien. La décomposition de ce terme apporte plusieurs possibilités grâce au jeu de l'homophonie. GI6-ÍR "La sombre aux prières (ou aux lamentations)" ; GI7-IR10 "la noble qui porte (ou produit)" ou encore GI-IR7 "la colombe qui restaure"… Rappelons au lecteur que la colombe est le symbole que le christianisme utilise encore aujourd’hui pour désigner le Saint-esprit qui n’est autre qu’une représentation détournée de la Déesse-Mère...

Quant à Yahvé, les auteurs ne sont pas d’accord entre eux. Pour certains, il serait An, pour d’autres Enlil, pour d’autres encore le fils de ce dernier. Selon vous, quelle est l’hypothèse la plus crédible ?

Pour cela, il est important de démystifier Satan, c’est-à-dire la divinité sumérienne Enlíl. Enlíl est le porte-parole d’An, tout comme l’était Satan dans les textes anciens. Dans l’Apocalypse (20,2) et la Genèse Rabba (chapitre 22), Satan est nommé "le Serpent des premiers âges". Le Livre de Job, ou Zacharie (3,1), nous présente Satan en tant qu’entité surhumaine, comme un "ange" au service de Yahvé. Mêlé aux personnalités "angéliques" (les Anunna d’An), Satan est comme un "être divin" très élevé prêt à rendre compte de ses activités et à recevoir de nouvelles missions de la part de Yahvé (An chez les Sumériens). Le manuscrit slave d'Adam et Eve (Bibliothèque Nationale de Sofia, N°433) indique que Satan revendiqua à Adam la possession de la Terre : "Mienne est la terre, divins sont le Ciel et le Paradis. Si tu deviens un homme qui m'appartient, tu travailleras la terre...". Il est important de noter que dans de nombreux textes, comme la Vie Slave d’Adam et Eve (33,5) ou des passages bibliques comme Mathieu (4,8), Luc (4,6), Jean (12,31) etc, Satan se prétend propriétaire de la Terre, avec le droit d’en laisser cultiver le sol par qui bon lui semble.


Comme je l’ai indiqué, dans le panthéon sumérien, Yahvé est le dieu An. Il possède comme bras droit le grand Šàtam Enlíl, c’est-à-dire "l’administrateur territorial" des terres agricoles où travaillaient les premiers esclaves transformés en Ádam ("animaux"). La boucle est bouclée : en tant qu’administrateur du champ primordial que les hommes-esclaves cultivaient, Enlíl devait se présenter à ces derniers en tant que dieu suprême qui correspond bien à Yahvé chez les judéo-chrétiens. Quant à savoir si Enlíl était bien le fils d’An, je l’explique dans Adam Genisiš. Il s’agit d’une contre vérité soigneusement entretenue depuis fort longtemps, car Enlíl était plutôt le fils de Sa’am-Enki, qui lui-même était fils d’An.
Même les textes apocryphes n’échappent pas à cette règle et semblent combiner le vrai avec le faux. En effet, prenons un personnage comme Ialdabaoth. Cet être est habituellement assimilé au dieu "jaloux" et guerrier Sabaoth, le "dieu des armées" des textes bibliques. Nous pouvons aisément l’assimiler à Yahvé, le dieu suprême, c’est-à-dire à la divinité sumérienne An. Or les textes gnostiques identifient étrangement cet être à Samaël, le serpent (litt. "le seigneur du venin"), qui n’est autre que le chef des anges rebelles et également fils de Yahvé… Après avoir relevé tous ces faits, la conclusion qui s’impose est la suivante : Yahvé (An) possédait plusieurs "anges" qui pouvaient parler et exécuter des ordres en son nom. Ceux dont il est question ici sont respectivement Satan ("l’administrateur du jardin" = Enlíl) et le Serpent biblique ("le libérateur du jardin" = Sa’am-Enki-Osiris). Ce concept est resté intact dans l’esprit des différents chroniqueurs bibliques, rabbiniques et apocryphes, qui mélangent à travers les âges et encore aujourd’hui, les différents protagonistes du drame judéo-chrétien.

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Le Livre d’Enoch fait constamment référence à des "anges déchus" ayant copulé avec les filles des hommes, engendrant une race de "géants". L’Ancien Testament y fait également allusion. Qui étaient selon vous ces "veilleurs" ? Avez-vous entendu parler du serment d’Aka évoqué dans ce livre ? Dans l’affirmative, pourriez-nous en dire plus car ce serment nous semble très important et aucun auteur jusqu’ici ne s’est hasardé à le commenter ?

C’est extrêmement simple et je l’ai évoqué plus haut, les "anges déchus" sont les veilleurs dont il est question dans le Livre d’Enoch. Ces êtres sont les Nungal (litt. "grand(s) prince(s)" en sumérien) de Sa’am-Enki, c’est-à-dire d’Osiris. Ils portent également le nom d’Igigi dans les versions akkadiennes, dénomination généralement traduite en "veilleur(s)" et sont désignés comme étant les Shemsu-Râ ("suivants de la lumière"), les fidèles d’Osiris en Egypte. Ils se sont effectivement mélangés avec des femmes humaines et ont bien engendré, non pas des géants, mais des enfants de grandes tailles qui sont sans doute les ancêtres des races nordiques.
A propos du serment d’Aka, oui, je vois de quel passage du Livre d’Enoch il s’agit. Cette annotation se trouve dans le chapitre 68, lorsque les différents "anges coupables" sont désignés. Le serment d’Aka ne fait que décrire les multiples facultés créatrices du dieu biblique. Facultés que nul n’a le droit de mettre en doute ou de bafouer. Nous savons aujourd’hui, grâce aux différentes recherches effectuées par des experts de la Bible comme Philip Davies, que le prophète Enoch ne serait autre que le prince Enmeduranki de la ville sumérienne de Sippar. Il est donc certain que l’histoire d’Enoch n’est pas hébraïque, mais qu'elle possède un lien avec Sumer. Dans ces conditions, il est nécessaire de traduire le terme Aka en sumérien. Nous obtenons AKA ou AK qui sont des formes verbales qui signifient "faire ; placer ; imposer ; accomplir". Ainsi, le serment d’Aka qui est déposé dans les mains de l’archange Mikaël – le bras armé de Yahvé qui correspond à Ninurta chez les Sumériens – n’est autre qu’un texte qui impose la loi du dieu unique et patriarcal (An chez les sumériens). Il s’agit sans doute d’un ancien texte de loi abrégé dans le manuscrit d’Enoch parce que son contenu est simplement perdu aujourd’hui. [ndlr Dans le Testament de la Vierge, Anton Parks démontre que Enoch serait précisément le Nungal sumérien Zehuti que l'on retrouve sous le nom de Djehuti (Thot) en Egypte].

Enlil semble détenir ses pouvoirs du Marduku, ce texte de lois élaboré par Nammu et Enki pour administrer les Annuna. Y-a-t-il un parallèle à effectuer entre ce Marduku et la fameuse "Table de la Destinée" qui aurait été subtilisée à Enlil par l’oiseau Anzu ?

Oui, complètement, mais c’est un épisode que je n’ai pas "vu", alors, bien entendu, je ne l'ai pas évoqué dans mon dernier livre. Par contre, cet événement me semble crédible dans la mesure où des Imdugud (Anzu) ont bien été emprisonnés par la caste Anunna et mis au service de leurs dirigeants. Un d’entre eux a très bien pu voler des cristaux ou ME appartenant à Enlíl, et qui contenaient divers textes de loi...

Avec le temps, que sont devenues ces diverses races d’extraterrestres ? Sont-elles retournées dans leur système planétaire respectif ? Selon David Icke (entre autre), elles seraient toujours présentes sur Terre, mais résideraient dans une dimension parallèle invisible d’où elles "parasiteraient" les consciences humaines. Nous serions toujours leurs esclaves soumis. Leur descendance issue d’un croisement hybride humain/reptile serait cette noblesse "noire" qui détiendrait tous les pouvoirs et les moyens financiers sur notre planète et qui se servirait des religions et des dogmes scientifiques pour asservir une humanité considérée comme du vulgaire bétail. Quelle est votre opinion à ce sujet ? Pouvons-nous espérer échapper un jour à leur emprise ?

Ces races sont sans doute toujours présentes. Les Gina’abul (lézards) provenant de la Grande Ourse et des Pléiades ont payé le prix fort pour extorquer la Terre aux planificateurs. Ils n’étaient que quelques milliers de survivants à l’issue des combats. A la fin de cette guerre, il y a près de 300.000 ans, il a été instauré une sorte d’embargo planétaire qui empêche les "vainqueurs" de quitter la Terre et le système solaire. Dès lors, les Gina’abul de type Anunna ont été obligés de cohabiter avec les Gina’abul Kingú (royaux) qui occupaient déjà les lieux depuis la nuit des temps. La plupart d’entre eux se sont effectivement mélangés avec les humains. Certains de ces descendants sont certainement ceux qui détiennent en coulisse le pouvoir. Mais, il faut cependant se faire à l’idée que l’humanité entière, sans exception, descend en partie des Gina’abul ! L’humain tel que nous le connaissons est le fruit de multiples manipulations génétiques. David Icke parle très bien de tout cela dans ses ouvrages. Malgré la profonde affection et le respect que je porte à cet enquêteur de talent, je déplore que Icke se soit focalisé uniquement sur les reptiliens hostiles. Lorsque nous lisons ses enquêtes, l’ensemble des reptiliens semble totalement invulnérable et malveillant alors que ce n’est pas le cas. [ndlr Depuis 2008, David Icke semble travailler sur l'idée que tous les reptiliens ne sont pas systématiquement hostile]. Par exemple, ceux qui occupent la cavité centrale de la Terre sont plutôt amicaux contrairement à ceux qui vivent dans des bases souterraines ou encore dans les dimensions inférieures ou parallèles. Il faut savoir que les Gina’abul sont toujours en guerre entre eux. L’enjeu des Gina’abul "hostiles" étant la domination de l’espèce humaine et de la Terre et celui des "moins hostiles" étant le contraire, c’est-à-dire la préservation des humains et de la planète.
Le seul moyen pour se sortir de l’emprise des "malveillants" serait de reconnaître leur existence et de propager mondialement cette information. Un changement de fréquence s’opère progressivement sur Terre depuis 1999. Les jours semblent se raccourcir à vue d’œil. Regardez tout ce que vous pouviez effectuer il y a encore quelques années en une journée et observez ce qu’il en est aujourd’hui. La fréquence de la Terre se modifie notablement et le temps parait s’accélérer. Sur nos montres, les heures semblent les mêmes, mais d’une façon spatio-temporelle, ce n’est plus pareil. Je suis convaincu que l’espèce humaine a été programmée sur la fréquence terrestre. Si cette dernière vient effectivement à se modifier, il est évident que le genre humain devrait se modifier avec elle, du moins ceux qui sont en accord avec la Terre.

Certains médiums et channels annoncent pour l’année 2012 une catastrophe planétaire majeure, notamment une inversion des pôles qui aurait pour conséquence de nous faire basculer dans la quatrième dimension (voire dans la cinquième). Cette hausse vibratoire nous permettrait de percevoir les entités reptiliennes résidant dans la seconde dimension. Qu’en pensez-vous ?

Franchement, vous voulez que je vous expose ce que je crois ? Je ne pense pas grand chose de tout ça dans la mesure où je suis très irrité par ces histoires de fin du monde. C’est un bon moyen de se déresponsabiliser face aux problèmes auxquels l’humanité devra faire face de toute façon. Il y a, certes, le changement de fréquence important que nous venons d’évoquer et dont je parle dans l’introduction du tome 1, mais de là à annoncer une "fin du monde"… Cela arrangerait beaucoup de personnes de pouvoir s’affranchir karmiquement parlant par le biais d’une intervention céleste comme une catastrophe planétaire ou un débarquement d’extraterrestres. Je ne crois pas qu’il se passera quelque chose d’extraordinaire en 2012. Il est cependant très possible que des humains perturbés aient décidé qu’il devra se dérouler quelque chose de majeur afin de justifier leurs croyances terrorisantes et le retour du Christ-Jésus ou de l'antéchrist. Tout est possible, le génie humain est capable du meilleur comme du pire !

Si les dieux, anges et démons d’autrefois étaient tous des aliens, pour la plupart de type reptilien, et à l’éthique des plus douteuse, une quelconque spiritualité est-elle encore possible ? Bref, si le domaine spirituel relève plutôt de l’inter-dimensionnel, pouvons-nous croire encore en l’existence d’un Créateur unique, celui que Marcion appelait le "Dieu lointain et étranger" ? Si oui, quelle pourrait être sa nature ?

Une spiritualité est possible en 3ème dimension comme en dimensions supérieures. Il me semble que les Chroniques démontrent que cela est réalisable malgré "la dureté" de la dimension dans laquelle nous évoluons.
En ce qui concerne l’essence de ce Dieu, de cette Source, nous l’avons abordée plus haut. Par contre, nous pouvons réfléchir quelques instants sur la nature de la vie en 3ème dimension et tenter de raisonner d’une autre façon que nous l’impose la dictature de la pensée unique qui dirige la planète Terre. Regardez le papillon qui, à nos yeux, ne vit que quelques jours… pensez-vous vraiment que cela soit le cas ? Pensez-vous vraiment qu'à ses yeux, c’est-à-dire dans son espace-temps, il vive aussi peu de temps ? Dites-vous bien que chaque battement de ses ailes peut très bien correspondre à une de nos journées… Dites-vous, que pareillement aux animaux qui demeurent sur cette planète à nos côtés, ils ne vivent sans doute pas avec la même notion du temps que la nôtre. J’invite chacun d’entre vous à contempler attentivement la nature et les animaux. Lorsque vous aurez fait cela, vous en saurez beaucoup plus sur les planificateurs qui ont ensemencé la Terre et également sur vous-même.
L'homme a besoin de se reconnecter avec le divin dont il est issu. La Terre peut l'aider à cela, c’est aussi une de ses fonctions principales. Que l'être humain s'emploie à préserver la Terre et ses richesses et cette dernière l'aidera assurément à se soigner de la profonde amnésie millénaire qui l’affecte.

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