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T1 - L'Ombre de la Mère du Trône

(2019)

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Nuréa TV, 2019

"(Cet ouvrage) nous met la tête dans les étoiles…"

BTLV, 2019

"(Ce livre) ouvre le champs des possibles."

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Depuis sa naissance, Hanael Parks porte en elle l’histoire d’une certaine Anna, petite-fille d’Enlíl, figure importante du panthéon mésopotamien. À la fois princesse de haut-rang, fille de sang royal, elle fait partie d’une ancienne dynastie d’immortels échouée sur Terre lors d’une bataille céleste… Les anciens récits de Sumer et d’Akkad la nomment Inanna-Ištar, alors que l’Égypte ancienne lui attribue le nom de Nephtys, « la Maîtresse du Temple ».

 Hanael Parks nous rapporte un récit poignant situé entre la frontière de l’aire sacrée et inviolable des immortels et l’espace profane des humains. Un décor grandiose émerge de page en page. Nous sommes plongés dans un monde à la fois simple et disproportionné en proie à la folie des « dieux » et à leur science défaillante.

 Alors qu’elle demande légitimement à prendre part activement à la destinée de son clan, Anna sera utilisée, humiliée, rejetée et méprisée, pour ensuite trouver une place chez l’ennemi, le Serpent initiateur de nos légendes, où elle espère obtenir le rang qui lui revient de droit. Le monde des dieux la néglige, alors elle s’invente un décor et un destin pour être remarquée. Pourtant, malgré les intrigues et les trahisons, elle n’a d’autre choix que de survivre à l’ère suprême des immortels et l’émiettement des cités antédiluviennes.

La lecture de cette œuvre majeure procure un furieux besoin d’espace et l’envie de revenir à l’essentiel des choses, là où tout a commencé… Il s’agit d’un travail considérable sur notre passé éloigné qui nous éclaire de façon saisissante sur notre présent. L’œuvre d’Hanael Parks pose des bases importantes pour une compréhension globale de notre histoire ancienne. Parfaitement complémentaire aux Chroniques du Ğírkù, « Les Chroniques de la Maîtresse du Temple » forment assurément une œuvre à part entière et d’une originalité incontestable.

 

Savoir, c’est comprendre… Hanael Parks décrit avec beaucoup de talent le vertige d’un temps hors du temps, celui des immortels en contact avec les humains. Détailler le monde des « dieux » de nos légendes avec une telle dextérité éclaire d’un jour nouveau les recoins secrets de l’âme humaine. Il faut suivre Hanael Parks dans la description de ses visions sur la vie d’Anna ; la suivre dans la quête de cette héroïne intemporelle et vivre son histoire comme une initiation menant vers une transformation du corps et de l’esprit. Ce long et pénible cheminement vous mènera où aucun humain n’a jamais mis les pieds.

 

Anton Parks

Note de l'auteure (extrait)

Qui saurait affirmer avec certitude quel enchaînement de décisions triviales ou solennelles eut pour conséquence l’échafaudage des mythes, des croyances et des religions ? Sont-ils l’œuvre de forces spirituelles, sorties tout droit de l’imagination d’individus, une laborieuse élaboration de doctrines complexes affinée au fil des ans, ou bien les mythes sont-ils inspirés de faits réels ? La réponse à cette question est probablement le fruit d’un savant mélange entre ces propositions et bien d’autres encore.

Le personnage principal de ce récit est une entité féminine ambiguë : elle incarne une de ces créatures dont on ne sait si elles sont des démons déguisés en femmes, ou des femmes abritant des démons...

 

Anna, tout comme les déesses délimitant la frontière de la Vie et de la Mort, dispose d’un pouvoir qui n’est ni bon ni mauvais en soi : Anna porte en elle les mêmes contradictions que chacun d’entre nous. Sa dimension surnaturelle lui ouvrant des possibilités infinies – auxquelles nous ne pouvons que rêver! – fait de ce personnage un support cathartique privilégié. Ses erreurs, ses luttes, ses espoirs et ses joies, nous les connaissons tous et toutes.

 

Pourtant, nous comprenons d’elle uniquement ce que nous sommes en mesure d’accepter et de concevoir : Anna est un support de projection par excellence, un personnage sur lequel «[...] [le] sujet expulse de (lui-même) et localise dans l’autre [ce qu’il] méconnait ou refuse en lui... » (Didier Anzieu).

Les mythologues évoquent l’idée selon laquelle le déclin des civilisations va de pair avec le déclin de ses mythes. Dès lors, il nous faut nous mettre en quête d’avatars capables de réenchanter le réel, d’alimenter l’imaginaire fantastique. Ces récits, capables d’ouvrir l’esprit aux champs infinis des possibles, contribueraient ainsi à éviter d’être annihilés et de voir les peuples sombrer dans l’oubli.

Mes recherches en mythologie comparée m’ont amenée à me poser différentes questions, mais celles-ci demeurent essentielles à ma réflexion : la percolation, l’agrégation des mythes et les syncrétismes nous sauveront- ils donc de l’abîme de l’oubli? Ou bien est-ce plutôt en trouvant un sens nouveau à ces fresques éparses que nous préviendrons une énième chute de la civilisation? Retrouverons-nous un jour la route menant à la Pangée des Mythes, la source de toutes les expressions du Mythe, perdue dans l’océan du temps?

Entreprendre la lecture de ce récit, c’est délaisser temporairement son humanité et se prêter à voyager dans les limbes et la nuit des temps.... Pour ce faire, il faut entamer ce périlleux périple aux côtés d’une créature jeune et inexpérimentée; il faudra dès lors accepter d’être le témoin impuissant de ses désillusions et de ses échecs.

Faire le pari de lire cette série, revient à s’ouvrir au champ des possibles. Il nous faut être attentifs pour mieux déceler l’inattendu. On ne saurait trouver la nouveauté en étant introduit à celle-ci. Pour la surprendre, il faut s’attendre à la voir venir de partout, de nulle part, sous quelque forme que ce soit. Il ne faut pas craindre de laisser derrière soi ses vieilles idées.

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"(Ce livre) ouvre le champs des possibles. Il faut essayer de l’aborder l’esprit ouvert et sans jugement. (...) Il faut le prendre autrement que comme un livre de science-fiction ou un livre d’Histoire. C’est une réflexion sur un monde probable, possible et sur des résurgences que Hanael a (...)."

- Bob Bellanca, BTLV, août 2019

"Le livre d’Hanael Parks nous mène la tête dans les étoiles… On est pris par l’histoire dès le départ. Un livre écrit avec toute cette énergie féminine que je ressentais déjà énormément chez l’auteure, mais très présente dans l’écriture et dans les descriptions. Tout cela m’a extrêmement intéressée, même vraiment portée : cet autre regard sur le monde au travers du personnage d’Anna est très féminin tout en offrant une information complémentaire aux Chroniques du Ğírkù d’Anton Parks.

Ce livre permettra aux fans d’Anton Parks de comprendre la situation, les jeux qui se passent entre les personnages, concernant des faits sociaux et politiques. À la lecture, on visualise les scènes, et on adorerait que quelqu’un se lance un jour dans un film pour l’on puisse avoir ces images et voir le résultat qu’Hanael et Anton ont dans leur tête. On parle aussi d’une histoire qui n’est pas vraiment romancée, c’est une réalité, mais datant de centaines de millier d’années.

À la fin du livre se trouvent énormément de sources historiques, dans « Archives et décodages », où les lecteurs trouveront beaucoup d’informations, et parfois certains objets archéologiques en rapport avec l’histoire du livre.

Merci pour cette recherche supplémentaire en fin d’ouvrage, cela représente un sacré travail. Information importante, j’ai beaucoup apprécié aussi les nombreux dessins d’Hanael qui parcourent son ouvrage et qui nous permettent de visualiser ces êtres là. Donc, ne loupez pas le coche, pour ceux qui ont lu tout Anton Parks, on enchaine avec Hanael, tranquillement, doucement, c’est de la broderie, très bien écrit, c’est facile et fluide. On trouve donc une autre compréhension de ces anciennes sociétés, de ces différents peuples [dieux et humains], une autre vision des événements qui permet de comprendre davantage les livres d’Anton Parks. L’Ombre de la Mère du Trône vous accroche littéralement sans pouvoir le décrocher."

- Nora, Nuréa TV, septembre 2019

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Retrouvez en accès libre un dossier rédigé par Hanael

pour le Webzine Lune Bleue numéro 28 à partir de la page 15.

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